C'est l'effet papillon....

Vous :

Je suis parisienne et en classe de Terminale. Je ferais tout pour être le plus active possible, cependant, en période d'examens, il est évident que mon activité ne sera pas la même ^^'

Niveau de Rp : 7/10 ( selon vous )
C'est difficile de se noter. Mais je Rper depuis déjà 6 ans.
J'espère juste ne pas me surestimer ou sous estimer

Comment avez-vous connu le forum ?
En 2011, je m'étais inscrite sur un forum de RPG de dreamland, désormais totalement inactif. J'en ai alors cherché un autre. Je me suis alors inscrite sur un forum où il y a des centaines de membres... Mais je n'aimais pas trop l'ambiance. Et puis, j'en ai à nouveau cherché un. Et puis je suis arrivée ici. Je crois bien que j'accroche
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Nom : Oto
Prénom: Greta

Surnom : Buterfly Cocoon

Age : 16 ans

Nationalité : Mes parents étaient britanniques, cependant je suis née et j'ai vécu jusqu'à mes treize ans, à Valparaiso, au Chili. Depuis, je vis en France, dont j'ai appris à parler couramment la langue. Je vis désormais à Gignac, un village près de Montpellier,et j’étudie à Montpellier. Je passe donc la semaine directement sur place, dans un petit studio, et ne rentre chez moi que le week-end venu.

Etude/Métier: A 16 ans, je suis déjà très avancée dans le cursus scolaire: je suis en première année, dans le supérieur. J’étudie le design de mode.

Objet magique désiré :(limité) Aucun pour le moment

Race : Humain

Rang : Voyageur (invocatrice)

Phobie : Lépidophobie : peur des papillons

Pouvoir en découlant :
Je peux invoquer des papillons. Certains sont très dangereux. Certains, comme des papillons de nuit, peuvent "manger" les dépouilles.
Je peux en invoquer plusieurs à la fois, cela me permet par exemple d'enfermer mon adversaire dans un cocon très solide.
J'ai toujours un Greta Oto, papillon translucide, avec moi, sur dreamland. C'est une invocation permanente.
Les papillons que j'invoque m'obéissent.
Bien sûr, je ne peux pas invoquer tous les papillons que je veux. Les plus gros et les plus dangereux- il me sera possible d'invoquer des papillons géants et très dangereux-, je ne pourrai les invoquer que quand j'aurais gagner beaucoup beaucoup plus d'expérience. Je me limite pour le moment à 5 papillons qui, ensemble peuvent emprisonner quelqu'un. Mon pouvoir n'est qu'à son début, mais quand il sera a on paroxysme, vous ne rirez plus devant l'invocatrice de papillons, vous tremblerez.
Bien sûr, ce pouvoir est très limité: l'invocation, sauf celle permanente du Greta Oto, m'épuise, plus ou moins vite, cela dépend de ma résistance à l'invocation en question, et si je l'invoque depuis longtemps ou non.
De plus, mes papillons ne sont pas invincibles. Lorsqu'ils sont tués, ils sont révoqués, et je dois attendre de gagner de l'expérience pour récupérer leur invocation.

Groupe : J'aimerai intégrer une bande de voyageurs. Mais pas être le leader. Cela serait trop de responsabilité.

Description : ( Physique et mentale) : Jusqu'à vaincre ma peur, j'ai toujours été très discrète et très taciturne. Solitaire et sans ami, je ne voyait même pas l'intérêt de tisser des liens avec des camarades. Mais sur Dreamland, ma survie en dépendra, alors je me suis résignée à devenir un peu plus sociable.
Je ne suis pas très grande, je dois mesurer 1m65, ce qui m'a permis jusqu'alors de m'isoler. Je gardais sans cesse mes grands yeux bleus baissés, pour n'outrer personne par mon regard. Mes grains de beauté multiple ont toujours été source d'inquiétude, pour les médecins, de peur que certains ne soient en fait que la manifestation de maladies. Mais que nenni, ils sont juste "décoratifs" même si ce n'est pas de la très belle décoration. Mon nez en trompette et mes lèvres attirantes ont fait de moi une très jolie jeune fille, cependant, je l'ai toujours dissimulé, pour ne pas attirer les regards. Pour cela, j'ai toujours pris soin d'attacher mes cheveux bruns, qui devraient caresser mes épaules. Si j'ai le tin pâle, c'est uniquement parce que ma mère était rousse. Ce n'est pas parce que j'ai tendance à rester chez moi. Loin de moi ces idées: je préfère de loin m’asseoir sur un banc d'un très beau parc peu fréquenté.


Histoire :
Mon père est allergique au pollen. Je ne me suis jamais approchée des fleurs. Mère me l'interdis. Je dois faire très attention. Mon père va mourir, le pollen pourrait lui coûter les derniers moments qu'il doit vivre.

Tous les jours, la même scène se répète. Je vais à l'école et lorsque j'atteins le seuil de la maison, il faut que je me taise. Je laisse le silence habituel et pesant m'envahir. En ouvrant la porte je pose mon cartable, suspend ma veste et monte mélancoliquement à l'étage. J'entre dans la chambre parentale. Maman pleure au chevet de mon père. Je m'approche silencieusement du lit, je l'embrasse et vais travailler dans ma chambre afin de ne pas plus le fatiguer.

Mais, alors que j'avais douze ans, un soir différa des autres.

Comme toujours, je rentre, me dévêtit, et monte l'escalier jusqu'à la chambre parentale. Comme toujours, Maman pleure au chevet de mon père. Mais cette fois ci, mon père articule deux mots qui me permettent de rester seule à seul avec lui.
Il me regarde tristement avant de m'annoncer péniblement qu'il a quitté maman pour ne pas lui faire trop de peine: il sait qu'il n'en a plus pour très longtemps. Il m'annonce par la même occasion que je vais aller vivre avec lui chez grand-mère.
Le soir même, la voiture m'emmène loin de mon enfance, de ma maison, mais aussi de ma mère.
Ce soir, les fleurs ne se sont pas refermées, ce soir, les papillons volètent gaiement.
Je suis tétanisée contre le cuir de mon siège. Je sais où je vais, cependant la respiration irrégulière de mon père m'inquiète. Allez chez sa mère c'est courir à une mort certaine pour lui.

La voiture s'arrête en plein milieu de la campagne. La maison de ma grand-mère est là, au bout d'un chemin fleuri. Mon père est transporté dans la chambre du haut. Il y fait froid mais elle est moins proche du jardin.
Nous mangeons et je vais me coucher. Dans la pénombre de mon lit, je ne parviens pas à dormir: un bouquet de lys blanc sur ma table de chevet m'effraie. Je me tourne et me retourne dans les draps mouillés par la sueur de ma peur. N'y tenant plus je m'enfuie en courant, trébuche et me relève. J'établis une paillasse à même le sol dans le couloir et m'y couche, rassurée.

A l'aube, je me rends dans la chambre de mon père. Il est encore vivant.
Il m'adresse un sourire triste et me demande d'ouvrir la fenêtre. Sans comprendre j'obéis. Il articule un merci à peine audible. De grands battements d'ailes se rapprochent, mais je n'ai pas le temps de fermer la fenêtre: une nuée de papillons entrent à la volée dans la chambre, y dispersant des fleurs de toutes sortes aux quatre coins de la pièce. Tous les papillons se posent sur mon père. Il est mort.
J'hurle et part en courant.

Depuis ce jour, j'eu la phobie des fleurs et la phobie des papillons.
Je suis par la suite retournée vivre en ville chez ma mère.

Et les jours se sont à nouveau ressemblez. Le temps passait sans cesse, sans que rien ne se passe.
Quand je rentrais chez moi, je mangeais, travaillais me lavait et ensuite allait me coucher. Je ne restais pas sur l'ordinateur jusqu'à tard dans la nuit, étant donné que je n'avais pas d'amis: j'étais très solitaire.



Mais un jour tout a basculé. Ma vie si banale m'ait soudain apparue beaucoup plus intéressante.
C'est plutôt une nuit que tout a basculé.
J'avais 16ans. Depuis la mort de mon père, je faisais toutes les nuits le même rêve: mon père, ensevelit sous une nuée de papillons, des fleurs recouvrant le sol. Et moi je restais là à le regarder, sans bouger, tétanisée par la peur.

Cette nuit là, j'ai, comme toujours, regardé les papillons ensevelir mon père. Mais à un moment, j'ai réagit, au son de la voix de mon père. Mon père m'appelait. C'était comme un appel à l'aide. Moi qui n'avait jamais été utile à personne, j'ai décidé de l'aider, quitte à me faire ensevelir par la suite par ces ignobles créatures. J'allais enfin pouvoir être utile à quelqu'un.
Je me suis élancée, plus je courais et plus il s'éloignait. Alors j'ai redoublé d'efforts, et je l'ai rattrapé. Les papillons étaient partout, j'eu envie d'arrêter de courir, de reculer, et d'abandonner mon père. Chassant de mon esprit cette pensée, j'avançais jusqu'à lui. Les papillons se fixaient sur moi, sur mon visage, m'emplissaient la bouche, mais je les chassait d'un revers de main, et en crachant. J'ai attrapé la main que me tendait mon père.
Mais ce n'était pas une main. C'était des papillons agglutinés en forme de main. Ce n'était pas mon père, c'était des papillons. Et là, il s'est désintégré sous mes yeux, pour la deuxième fois. Mon père n'était plus.
Je me suis mise à hurler et à écraser tous les papillons qui me passaient sous la main. Voyant ma colère, ils se sont calmés, ont arrêté de se fixer sur moi et se sont posés, sur ce qu'il pouvaient bien trouver, autour de moi: sol, branches, etc. Je n'en avais plus peur. C'était étrange, cette sensation.
- Eh mais attends là, elle surmonte sa peur!
- On s'est amusés trop longtemps, je t'avais dit que c'était pas une bonne idée!
- Mais non, c'est toi qui as lancé l'idée!
-etc.
Je voyais deux créatures étranges se disputer à mon sujet. Oui, j'avais vaincu ma peur, mais étais ce vraiment ces deux créatures qui venaient de me faire vivre un enfer?
Alors, sans même avoir l'impression de l'avoir voulu, tous les papillons se sont envolés jusqu'aux deux créatures, et les ont mises dans des cocons. Je ne comprenais pas tout, mais j'étais satisfaite.

Autour de moi, l'univers avait changé.
Tout semblait féerique et un vieil homme se tenait fièrement devant moi. Il m'expliqua brièvement ce qu'il s'était passé. Il me dit que j'étais désormais devenue voyageuse de Dreamland.
Il me restait encore beaucoup de question sur dreamland, quand je me suis réveillée.

Aime : dreamland, le dessin, le surf, faire la cuisine, jouer de la lyre et lire

Déteste : les fleurs, les prétentieux, la nourriture déjà prête, la saleté

Pour les personnages du mangas, étant donné que l'on ne connait pas tous leur histoire, un test Rp remplace l'histoire. (20 lignes minimum pour le test Rp)